Ce qu’il faut de terre à l’homme
Martin Veyron
BD.
Librement inspiré de Léon Tolstoï (Ce qu’il faut de terre à l’homme, 1886)
Prix
spécial du jury Angoulême 2017
Sur
son lopin de terre de Sibérie, le paysan Pacôme vit avec sa femme et son fils.
Il n’est pas riche mais il subvient aux besoins de sa famille. Cependant,
Pacôme se sent à l’étroit. « Si seulement j’avais plus de terres, soupire-t-il
en regardant par-delà la clôture, je pourrais être tout à fait heureux. » Un
appétit, tant pour les terres que pour ce qu’elles rapportent, qui va aller
grandissant…
Une
fable philosophique qui nous emmène en Sibérie, chez les Moujiks. Les paysans
pauvres n'arrivent plus à nourrir leur bétail. Les chevaux et les vaches ont
pris l'habitude d'aller brouter l'herbe fraîche des terres de la baronne. (RTL)
L’auteur
: connu pour ses albums humoristiques, Martin Veyron change de genre et
explique son choix.
"J'avais
fait quelques pages sur le monde contemporain - les banquiers, l'agriculture
empoisonnée - et je me suis rendu compte que tout ce que je disais n'était pas
drôle et que ça faisait un peu donneur de leçon, mais je m'accrochais parce
qu'il n'y a pas un jour ou je ne lis pas dans le journal des choses qui me
révoltent et je ne voulais pas lâcher le morceau. Jusqu'au jour où je me suis
souvenu de ce conte russe. Je me suis dit qu'il y avait tout ce qu'il
fallait"
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